Questions en vrac

Pour toutes vos petites questions toute bêtes, pour éviter de créer 10.000 topics pour de petits problèmes vite résolus !

quelqu'un pourrait il me dire les démos qu'il ne faut pas connaitre pour les colles de cette semaine(nombre et récurrence...)svp????

Alors il s'agit de celle du nombre de permutations... et les autres je sais pas...

il y a les permutations et la demo sur poly des k parmi n

vive langlois !

viv langlois

HUm... une autre petite question, sur les fonctions et les suites définies par récurrence cete fois...
Alors en fait il s'agit de la technique concernant la monotonie de ces chères suites...
J'ai compris le cas où f (la fonction utilisée pour passer de Un à Un+1) est croissante, mais je bloque sur le cas où elle est décroissante ...
Pourquoi utilise-t-on les suites extraites (U2n) et (U2n+1), et en quoi se ramène-t-on au cas précédent ?
Et puis dans la synthèse, il faut aussi soit disant déterminer le signe de f(x)-x, ce qui selon moi est suffisant...

en passant de U2n-2 a U2n en fait tu compose deux fois par f donc comme f est decroissante tu retombes sur une fonction croissante ("regle des signes").... idem pour U2n+1

Bonjour à tous!!!
Bonne année bonne santé!!! et vive 2007
Est-ce que qqquun aurait les démos du cours sur les noyaux avec Ker(phi) ainsi que la démo :
soit phi:G1---->G2 un morphisme:
phi(e1)=e2
pliz

Merci d avance

Damned a écrit:

en passant de U2n-2 a U2n en fait tu compose deux fois par f donc comme f est decroissante tu retombes sur une fonction croissante ("regle des signes").... idem pour U2n+1

Hum j'ai toukours pas compris... quelqu'un aurait le temps de m'epliquer ca bien en détail ??

Problème sur la démo de : "Une fonction continue sur un intervalle et qui y change de signe s'annule sur cet intervalle"...
Bon alors en fait, je comprends pas pourquoi pour montrer que f(c)>0, quand c<b, on pose no=E(1/(b-c))+1... pourquoi ? pour moi, ca marche pour tout n€N !!

C'est nue bonne question régis...je ne pense malheuresement pas pouvoir te donner la réponse

Sinon moi j'ai un GROS problème sur une démo dans les structures algébriques...c'est la première qui porte sur les morphismes de groupe et qui nous dit (gentillement) que : Phi(E1) = E2...Je vais être clair : je ne comprends RIEN à cette démo ! pourant elle est pas bien longue ! Mais j'ai des E1, E2 qui se trimballent partout, j'ai essayé 5/6 fois de la reprendre du début et de trouver la logique mais RIEN N'Y FAIT !

Fabien m'a dit qu'il avait le même problème avec cette démo alors si vous aussi vous la comprenez pas...bienvenu au club

idem régis... Pour moi un pourtout n aurait suffit et puis pk dans ce cas on a pas mis un condition similaire dans la premier parti de la démo genre n0=E(1/a-c)+1 ou un truc du genre... mystère

svt un majore est demanD sur le forum, un majore merci.

j'ai la meme interrogation que regis et robert... j'ai cherché, mais je vois pas à quoi ça sert... En tout cas, ça fonctionne aussi pour n>n0 donc au final c'est pas trop grave...

Pour mon ptit président , mon ptit Boboge....
tu sais que phi est un morphisme et que e1 est le neutre de (G1,*) et e2 celui de (G2,&)...
Tu calcules donc phi(e1*e2)=phi(e1)&phi(e2) à cause du morphisme.
De plus e1*e2=e2 par déf du neutre....

Ainsi, phi(e2)=phi(e1)&phi(e2)= phi(e2)&phi(e1) donc phi(e1) vérifie la déf du n eutre or l'ensemble d'arrivé de pgi est G2 donc phi(e1)=e2...

a bas voilà ! merci martin ! Parceq ue moi j'ai pas ça et ma démo est effrayante !

Ah si c'est bon j'ai compris !!! en fait il pose ce n0 moche, parce que après, il pose Xn=c+1/n, donc, c'est à partir de n0 pour que Xn appartienne à E... Mais on peut aussi procéder comme dans la première partie, en disant qu'il existe Xn appartenant à E tel que c<Xn<c+1/n... et alors la pas besoin de n0 !

Merci Martin...celle-là au moins je la comprends ! Et c'est pas du tout celle du cours !

le coquin des bois a écrit:

Pour mon ptit président , mon ptit Boboge....
tu sais que phi est un morphisme et que e1 est le neutre de (G1,*) et e2 celui de (G2,&)...
Tu calcules donc phi(e1*e2)=phi(e1)&phi(e2) à cause du morphisme.
De plus e1*e2=e2 par déf du neutre....

Ainsi, phi(e2)=phi(e1)&phi(e2)= phi(e2)&phi(e1) donc phi(e1) vérifie la déf du n eutre or l'ensemble d'arrivé de pgi est G2 donc phi(e1)=e2...

ET BEN CA MARCHE PAS!!!! parce que phi est un morpfisme de G1 dans G2 donc tu ne peux pas definir phi de e2 car c'est un element de G2 et non de G1...par contre j'ai pas la demo moi non plus...

Et bien commment expliques-tu que la démo du cour commence par phi(e1*e2)????

le coquin des bois a écrit:

Bonjour à tous!!!
Bonne année bonne santé!!! et vive 2007
Est-ce que qqquun aurait les démos du cours sur les noyaux avec Ker(phi) ainsi que la démo :
soit phi:G1---->G2 un morphisme:
phi(e1)=e2
pliz

Merci d avance

Ben la demo avec phi(e1*e2) c'est pour montrer que le neutre est unique c'est pas la meme demo... toi tu demandais pour un morphisme de G1 dans G2 ( ta demo marche pour un automorphisme)

je propose qu'on demande à Germain lundi parce que apparemment on est pas beaucoup à avoir pigé ou meme a avoir copié celle là lol ! (et la semaine prochaine je vous met ma main à couP qu'il va le demander en kholle le coquin...)

Et sinon, il suffit pas de dire:
soit x ds G1
phi(x*e1)=phi(e1)&phi(x)=phi(x)
Ce qui n'est possible que si phi(e1)=e2...
Ca marche ptet un peu mieux celle là

le coquin des bois a écrit:

phi(x*e1)=phi(e1)&phi(x)=phi(x)
Ce qui n'est possible que si phi(e1)=e2...

Ben faut trouver l'autre sens aussi.

Bon voilà, on est d'accord avec Damned... vous reprenez ma première démo et vous remplacez e2 par x, ou x appartient à G1 et ça marche!